La démone semblait se déplacer et agir comme sous le contrôle d’un metteur en scène. Tous ces mouvements théâtraux et calculés montraient comment les paroles d’Ulfir avait été justes. En effet, au première parole que les deux être c’était échangé, Ulfir avait avisé Lylianne que les démons était tous pareille. Il avait suffi de montré quelque faiblesse et la démone avait sombré dans les clichés et les habitudes. Il avait commencé l’échange par quelque petit pic et l’avait laissé prendre le dessus par la suite. Maintenant, elle était embarquée sur ce même train qu’ils prennent tous. La théâtralité don elle faisait preuve, montrait comment elle avait mordu à l’hameçon du pouvoir et de la dominance. Il était tellement facile de trompé cette race. La plus part d’entre eux fondait leur connaissance, leur pouvoir, leur doctrine et tous ce qu’ils sont sur les préjugés et le fait de généralisé les êtres qui les entourent. Les démons sont tellement aveuglés par leur orgueil, qu’il oublie souvent, qu’ils ne sont pas seul au monde.
En vérité, pour Ulfir toutes cette soirée semblait finalement n’être qu’un jeu. Un petit divertissement qui montrait peut être l’opportunité d’un meilleur avenir, mais s’en bien plus. Une soirée quelque peu mouvementé pour faire passer le temps de quelque minute. Il en sortait peut-être avec un endroit où dormir. Peut-être avec une femme avec qui coucher. Peut-être avec rien du tout. En vérité, il n’avait rien, donc il ne pouvait rien y perdre.
Il continuait donc le jeu. Répondant au approche allumeuse de Lylianne, en essayent d’embraser ces lèvres. Après tous, même si c’était un jeu, il aime jouer.
- J’accepterai le rituel seulement si je vous vois l’accomplir sur quelqu’un d’autre. Ainsi, je saurai si vous faite quelque chose d’autre.
Ulfir espérant convaincre la démone commença sa transformation. Les os, les muscles, les tendons, tous de son corps se déplaçait dans un bruit innommable. Le linge qu’il portait, éclatait de sur son dos, finissant en morceaux. Sa nouvelle stature donnait l’impression qu’il était dans une maison pour nain. Pour être au niveau de Lylianne, il descendit un genou au sol et s’adressa à cette dernière. Une voix rauque et puissante sortait désormais d’Ulfir.
- Voici, ce que je suis.
