[\!/ Contenu explicite] Remember ~ PV Ikuto <3

Un elfe, ça ne rougit pas !

Mais il fallait dire que la situation était quand même assez gênante quand on y pensait. J'étais là, allongée sur mon jeune amour, nos deux corps nus collés l'un à l'autre et seulement recouverts d'un fin drap blanc. J'avais atteint l'extase en même temps que lui et c'était un sentiment vraiment incroyable. Seulement voilà, je me sentis tout à coup rougir et j'allai cacher mon visage contre le cou de mon chaton, qui vibrait doucement parce qu'il ronronnait, ce qui me fit quelques chatouilles qui me firent sourire. J'y déposai de petits baisers avant de dire à son oreille :

- Tu m'as bien montré que tu as aimé toi aussi ... C'était très agréable.

Un frisson parcouru alors mon échine, sans que je ne sache vraiment pourquoi, et je me redressai alors pour me pencher sur le côté du lit et attrapait la chemise de mon jeune amour que je m'empressai d'enfiler et de boutonner vulgairement, c'est à dire deux boutons sur toute la rangée, juste pour qu'elle tienne en place, puis je retournai m'allonger près de mon bien aimé, un petit sourire malicieux et en même temps innocent ancré sur mon visage.

Invité

Heureusement qu'ikuto avait montré qu'il avait aimé. apres tout cela avait ete de cas. le chat fut un peu surpris lorsqu'il vit sa compagne aller prendre sa chemise noire qu'il n'avait plus sur lui pour se l'enfiler, même si elle ne l'avait pas vraiment attaché correctement. deplus elle souriait, tout en retournant contre lui. ce sourire etait partagé entre de la malice et de "l'innocence"

-Mai-euh.. ma chemise...

Il ne comptait pourtant pas la le lui reprendre, quoi que..

- Je refuse de mettre ton bustier, je pense pas que ca m'aille de toute facon

La gourmandise est un vilain défaut.

Et il y a plusieurs sortes de gourmandises. Celle qui me venait à cet instant en tête avait quelques touches de luxure ... Je venais à peine de revêtir la chemise de mon jeune amour quand celui-ci râle un peu, prétextant qu'elle était à lui, ce qui n'était effectivement pas faux. Mais j'aimais vraiment sentir son odeur sur moi, aussi lui fais-je une petite moue toute mignonne pour qu'il cède. Par la suite, il ajouta ne pas vouloir enfiler mon bustier, qui ne lui irait pas de toutes façons, ce qui me fit sourire, avant que mon visage ne prenne une expression plus implorante et enfantine :

- Oh non, reste tout nu, rien que pour moi ...

En même temps que je prononçai cette phrase, mes doigts se baladaient sur son torse, sur sa peau chaude et douce que j'aimais tant. J'avais tant attendu pour pouvoir le toucher ainsi, que je n'avais plus l'intention de m'en priver !

- Ce sera plus facile si je veux te croquer, ajoutai-je avec malice.

Invité

Pas de doute: elle voulait garder sa chemise. Mais son prétexte n'était pas mal: elle voulait qu'il reste nu, pour elle. Pour le croquer. Ikuto en avait bien envie d'ailleurs. Bon oui ça ne faisait pas très longtemps qu'il était passé à l'acte charnel, mais il en avait encore envie. TRES envie. C'était trop tard pour lui, il était devenu accro, dépendant à son corps mêlé à celui de Xecty.

"touche moi encore... j'ai envie que tu me manges..."

Tout en parlant, il abordait une mine boudeuse, qui faisait pitié. Seulement, un petit élément vint perturber l'envie du jeune chat.

« Je suis rentrée les enfants !»

zut, voilà que la mère d'Ikuto était là... Le chat, malgré le fait qu'il adorait sa maman, aurait aimé avoir un peu plus de temps pour profiter de sa chère et tendre. Mais il y avait quelque chose qu'il ne savait pas.....

En effet, sa mère n'était pas seule.... Un inconnu encapuchonné se tenait à ses cotés, ou plutôt derrière elle, la menaçant discrètement d'une lame. Qui était-il ou elle ? Elle ne le savait pas. Peut-être avait-il/elle un rapport avec les activités de son cher bébé chat... (je t'en prie je te donne le méchante ou la méchante)

La rancune est la pire des ennemies.

Alors que je venais d'annoncer à mon chaton que j'avais envie de le croquer, il me supplia de le faire tut en arborant une moue boudeuse qui me fit rire. Mais ma gaieté se calma bien vite quand une voix retentit dans la maison : c'était Souko qui venait de rentrer. Mais autre chose me perturbait, sans que je ne puisse mettre un mot dessus. Comme s'il y avait tout à coup quelque chose d'anormal. Je me redressai ainsi doucement pour rendre sa chemise à mon amour et allai me rhabiller. Je m'emparai ensuite d'un calepin posé sur le bureau de la chambre et y écrivais quelques mots que je montrai à mon chaton, un index sur mes lèvres : "Fais attention en descendant, je crois que ta mère n'est pas seule".

- On arrive Souko ! adressai-je à la maman de mon amoureux, mais aussi à la personne qui se trouvait avec elle.

Je laissai Ikuto se rhabiller puis prit sa main et l'entrainai en bas comme si de rien n'était, un fin sourire sur mes lèvres. Mais mon rictus disparut tout de suite lorsque je vis Souko. Derrière elle se tenait un homme dont je ne pouvais voir le visage, et il tenait une lame posée contre la gorge de la jeune femme. Un fin filet de sang avait déjà perlé sur sa peau blanche.

- Saleté de chat, bouge toi de me rendre mon fric ou elle y passe ! Et pas de mauvais coup ou je l'égorge sous tes yeux.

Je n'osai plus bouger de peur que Souko ne soit blessée, je ne pourrai jamais me le pardonner si cela arrivait. Elle était comme ma mère, je l'aimais vraiment beaucoup et je refusais de la voir souffrir. Je savais déjà qu'elle peinait à joindre les deux bouts pour s'occuper de nous deux, c'était pour ça que nous avions décidé de nous rallier à la guilde et de travailler la nuit en cachette. Mais cette activité était en train de nous causer du tort ...

Invité

Souko ne comprenait pas ce qu'il se passait, mais son cher fils oui. Ikuto avait bien compris que l'homme encapuchonne se trouvait être l'un de ses anciens clients, et ce dernier semblait avoir besoin de la paie qu'il avait donné au chat, puisque il en venait jusqu'à menacer sa mère. Et il venait de signer son arret de mort. Lorsqu'il le pourrait, il viendrait lui régler son compte car on ne touchait pas a sa mere impunément.

Il lacha donc la main de Xecty, car pour l'instant il devait laissé croire qu' il etait piéger et qu'il rentrait dans son jeu. Il leva légèrement les mains sans gestes brusques pour bien lui montrer qu'il.n'etait pas armer, et qu'il etait donc sans défense

- du calme... tu vois? Je n'ai pas mon arme. On pourrait discuter au lieu de vouloir utiliser directement la maniere forte. Pourquoi tu le veux cet argent?

Quand le doute et la peur prennent le pas sur la raison.

Je ne savais pas quoi faire, je ne voulais pas que cet homme fasse du mal à Souko, à la mère de mon chaton, à celle que je considérais comme une seconde maman parce qu'elle m'avait recueillie alors que j'avais perdu la mienne. Il était hors de question qu'il lui arrive quelque chose, nous devions agir pour la sortir de là. Après un instant, je vis Ikuto lever les bras pour montrer à l'intrus qu'il n'était pas armé et pur le calmer un peu. Il lui demanda ensuite pourquoi il avait besoin de cet argent, et le visage de l'homme sembla se barrer d'une colère encore plus grande.

- Ce ne sont pas tes affaires, rend le moi, un point c'est tout !

Je remarquai bien que la belle hybride blonde ne comprenait rien à ce qu'il se passait. En même temps, c'était normal, notre activité était secrète, même pour elle, parce que justement, nous avions toujours voulu éviter qu'une telle situation arrive. Apparemment, nous n'avions pas pris assez de précautions, quelqu'un avait réussi à nous suivre jusqu'ici.

*Pourvu que l'info ne circule pas, on est bon pour déménager sinon ...*

L'homme se braqua simplement et resserra son étreinte sur son otage. Mes poings se serrèrent mais je me contrôlai vivement pour ne pas lui sauter dessus. Je regardai alors Ikuto pour savoir si nous devions suivre ses ordres ou essayer de résister. A cet instant, une plainte de Souko parvint à mes oreilles tandis que l'homme faisait perler un filet de sang sur la gorge de la jeune femme.

- Bougez-vous, je suis très sérieux !!

Invité

Ikuto n’avait pas réussi à calmer l’homme. Au contraire, maintenant celui-ci était en colère. Super … Mais lorsqu’il vit du sang couler au niveau du cou de sa chère maman, il comprit qu’il devait réagir vite, et bien. Restant calme du mieux qu’il put, il tourna légèrement son regard vers sa compagne.

« Va dans ma chambre, et amène la somme qu’il nous avait donné »

Il lui fit bien comprendre par le regard d’avoir confiance et d’obéir pour l’instant. Ikuto avait bien l’intention de ne pas laisser l’homme sortir vivant de sa maison, surtout après l’énorme erreur qu’il venait de faire.

« Tu vas l’avoir ton argent, alors lâche la. Elle n’a rien à voir là-dedans. »

Il y a des fois où il vaut mieux s'avouer vaincu.

Le démon qui venait d'entrer dans la maison et de prendre Souko en otage ne plaisantait pas, il fit même perler un filet de sang à la gorge de la jeune femme et je sentis très bien qu'elle avait peur, ce qui était tout à fait normal. Ikuto s'adressa alors à moi en me demandant d'aller chercher la somme que l'homme désirait dans la chambre. Mon regard se plongea dans le sien pour essayer d'y lire quelque chose qu'il aurait sous-entendu, mais la seule chose que j'y vis, c'était que je devais lui faire confiance et m'exécuter. J'hochai alors doucement la tête tandis que l'homme s'exprimait :

- Tu as deux minutes.

Je montai alors à toute vitesse à l'étage et me dépêchai de trouver l'argent et de rassembler la somme nécessaire avant de redescendre, une bourse dans la main. Personne n'avait bougé et je me replaçai aux côtés de mon chaton avant de balancer la bourse au démon qui l'attrapa, regarda à l'intérieur puis relâcha Souko assez violemment.

- Heureux d'avoir fait affaire avec vous.

Il se retourna ensuite et se dirigea vers la porte. Je me précipitai alors vers ma maman de coeur et m'assurai qu'elle allait bien, puis la serrai contre moi tendrement, avant de lancer un regard à Ikuto. Je savais qu'il avait une idée derrière la tête ...

Invité

A peine avait-il lâché sa chère maman qu’il fonça droit sur l’homme qui se tenait dos à lui. Il ne fallait jamais tourner le dos à un petit fauve en colère, surtout si on avait osé s’en prendre à un membre de sa famille. Ses attributs de neko étaient apparus, et ils étaient dressés en arrière, signe d’une profonde colère.
A peine avait-il fait couché le démon qu’il le roua de coups, ignorant le fait qu’il était encore en présence de sa mère. Cette dernière, justement, ne comprenait rien à tout cela. Elle était agrippée à la jeune elfe près d’elle comme un jeune chaton apeuré.

-…. Xecty… qui est cet homme ?... C’est quoi cette histoire d’argent ?...

Ikuto entendit la voix de sa mère et parut se calmer un peu grâce à sa voix. Il y avait décelé une part de peur et d’anxiété. Il s’en voulait à présent. Empêchant sa proie de partir, il regarda légèrement sa mère et sa compagne.

-Maman je vais tout t’expliquer, mais pour l’instant on est plus en sécurité. S’il a réussi à te trouver d’autres le pourront.

Et ça, il ne voulait pas que cela arrive.

Travail et vie privée doivent rester séparés.

Alors que je venais de prendre Souko dans mes bras en m'assurant qu'elle allait bien, mon jeune amour se rua littéralement sur l'homme qu'il venait de laisser partir et le mit à terre avant de le rouer de coups brutaux. Je serrai un peu plus ma mère adoptive contre moi pour qu'elle ne voit pas son fils dans un tel état. Mais cette dernière entendait tout et avait l'air apeurée : ses oreilles de chats apparues sur sa tête étaient d'ailleurs en arrière, et j'allai les caresser tout doucement pour la rassurer. Elle me demanda alors qui était cet homme et quelle était cette histoire d'argent. J'allai lui répondre quand mon amoureux pris la parole et lui promit de tout lui expliquer une fois que tout le monde serait à l'abri. Je le regardai alors, déterminée, mais une légère angoisse encore marquée dans ma voix.

- Mets-le dehors qu'on n'en parle plus ...

Je ne pensais pas que notre travail de chasseurs de prime se transformerait aussi vite en une activité dangereuse. Encore, qu'elle le soit pour nous, ce n'était pas un problème, nous avions l'habitude et nous savions nous défendre, mais il ne fallait surtout pas que Souko soit impliquée, or c'était ce qu'il venait de se passer. Nous allions devoir trouver une solution pour la mettre à l'abris, et vite, avant qu'elle ne devienne la proie de tous nos ennemis ...

J'aidai ensuite Souko à se relever et l'entraînai dans la cuisine pour qu'elle puisse s'asseoir, en attendant que mon chaton se débarrasse du nuisible. Je n'osais rien dire, de peur de faire une gaffe, aussi essayai-je de me montrer gentille et prévenante pour la jeune femme aux longs cheveux blonds. De cette manière, je lui préparai rapidement une tisane et lui donnai. C'était ma façon de me faire pardonner ...

Invité

Ikuto laissa sa mère et sa compagne partir. Après tout, ce qu'il s’apprêtait à faire ne devait pas se dérouler devant les yeux innocents de sa chère maman. Il s'en voudrait trop s'il venait à faire une telle chose.En effet, il n'attendit que quelques instants après qu'elles soient rentrées pour trancher net la gorge du pauvre gars. Après tout il l'avait bien cherché, et surtout, il ne pouvait plus partir vivant puisqu'il avait osé profaner son chez lui.

Le neko se dépêcha d'enterrer le corps bien loin dans la forêt puis d'effacer toute trace de son passage et de sang avant de rentrer. Mais pas par la porte: il était couvert de sang. Il se changea rapidement et mit ses anciens vêtements sous le lit, avant de rejoindre les deux filles à la cuisine. A peine arriva-t-il qu'il se rua sur Souko pour la serrer fort contre lui. Tout ce qu'il fut capable de prononcer devant elle était qu'il était désolé. vraiment désolé.

Souko ne savait pas quoi dire sur le coup, car elle était encore un peu choqué et le comportement de son fils était vraiment très inhabituel.

- Ikuto explique moi.... J'ai du mal à comprendre...

Le bouche du chat resta close, et ce dernier regardait sa chérie, cherchant un peu d'aide par le regard

Les secrets finissent toujours par être dévoilés.

Après plusieurs minutes, durant lesquelles je devinais ce qu'Ikuto devait être en train de faire, ce dernier nous rejoignit enfin et fila directement serrer sa mère dans ses bras en s'excusant. Je souris légèrement à cette vision plutôt mignonne, mais mon sourire disparut quand Souko demanda des explications. Mon jeune amour sembla privée de toute parole et me lança un regard de détresse. Je m'approchai alors pour m'asseoir près de ma mère adoptive et pris une de ses mains entre les miennes.

- Si ce démon est venu ce soir, c'est pour récupérer l'argent qu'il nous avais donné ... Pour remplir une mission qu'il nous avait confiés.

Mon regard était plongé dans les yeux clairs de la jeune femme blonde, qui semblait comprendre peu à peu mais qui me questionnait toujours silencieusement. Si je ne lui disait pas directement ce qu'il en était, elle ne voudrait jamais voir les choses en face. Alors autant aller droit au but, quitte à la surprendre, à la choquer ou à la blesser :

- On est des chasseurs de primes ... On pensait que ça vous aiderait pour vivre, en complément de ce que rapporte la boutique, mais finalement c'est devenu dangereux ...

A ces mots, mon regard s'abaissa tandis que je serrai mes mains sur celle de Souko, m'excusant alors à mon tour. Je me sentais honteuse de lui avoir dissimulé la vérité, mais c'était pour la protéger que nous avions fait cela. C'était une énorme et stupide erreur ...

Invité

Ikuto laissa la belle elfe finir toutes les explications. Peut-être que si ça venait d’elle plutôt que lui, la pilule passera mieux que si cela avait été lui. Mais lorsqu’elle eu finit, il ne put s’empêcher de rajouter un petit détail car il n’y avait pas que le besoin financier.

« Si on a acceptés de devenir chasseurs de prime, c’est aussi pour espérer avoir une piste pour papa…. »

Même s’il ne l’avait jamais vu, il avait envie de le trouver. Même si tout d’abord il aurait aimer lui donner un gros coup de poing dans la figure pour avoir oser laisser sa mère seule, il voulait aussi savoir de qui il venait. Et puis, de la manière dont Souko en parlait, on aurait dis un super héros et enfant il avait été légèrement émerveillé et s’était fait une promesse, celle de lui ressembler pour sa chère maman chérie.

Souko ne savait pas trop quoi dire. Elle était émue par ce que les deux amoureux lui avaient raconté. Ils risquaient leurs vies derrière son dos pour pouvoir ajouter de l’argent aux maigres recettes qu’elle faisait à la boutique, mais aussi pour chercher l’homme qu’elle avait aimé, et qu’elle aimait encore à ce jour. Ils ne pensaient même pas à eux, mais elle. Elle sourit à cette pensée. Elle serra d’abord Xecty dans ses bras telle une mère douce et chaleureuse, avant de faire « subir » le même traitement à son fils.

« Merci les enfants, mais ce n’est pas la peine de risquer votre vie à tout va comme ça…. Je sais que je gagne peu, mais c’est largement assez pour pouvoir nous nourrir tous les trois et vivre heureux. Quand à Aruto….. J’apprécie grandement Ikuto…. J’ai moi-même attendu et j’attends son retour. Mais je pense que je dois me faire à la raison qu’il ne reviendra pas. »

Des points de vue différents pour un but commun.

Mon jeune amour expliqua à sa maman que notre travail avait, en plus de l'argent, pour but de nous permettre de retrouver son père, disparu à ce jour. J'avais peu entendu parler de cette histoire car elle chagrinait Souko et énervait Ikuto, mais le père de mon bien aimé avait quitté leur maison alors qu'il n'était qu'un jeune enfant, quelques temps avant que je ne le rencontre en fait. Mais le jeune hybride voulait le retrouver, et je devinais que c'était autant pour lui faire payer son absence que pour apprendre à le connaître. Mais j'avais aussi mes raisons quand à ce travail de chasseuse de prime :

- Je sais que vous passez beaucoup de temps à la boutique et que le peu de votre temps libre, vous vous occupez de nous alors on ... Je voulais alléger votre charge, surtout que vous n'avez pas à vous souciez de moi normalement ...

C'était vrai, je m'étais presque imposée à la maison quand j'étais petite. Souko m'avait accueillie à bras ouverts, comme si elle vaait toujours était ma mère, mais à mon jeune âge, je n'avais pas réalisé que j'aurais pu être un poids pour la jeune femme. Et aujourd'hui, je me rendais compte que c'était le cas. Parce qu'à cause de mon inconscience, elle avait était mise en danger. Tandis que je la serrais fort dans mes bras, une larme que je m'empressai d'essuyer coula sur ma joue. Je me sentais horriblement coupable de ce qu'il venait de se passer. Puis alors qu'elle allait serrer son fils dans ses bras tout en lui parlant de son père, je décidai de lui donner mon avis sur la question :

- Et vous ne devriez pas perdre espoir pour Aruto. Je suis certaine qu'il vous aimait et qu'il vous aime encore ! Si Ikuto lui ressemble tant que vous le dites, il ne peut pas être quelqu'un de mauvais ...

Mon regard ébène se posa alors sur mon jeune amour tandis qu'un très léger sourire se posait sur mes lèvres. Il était gentil et d'une douceur infinie avec moi. Son père avait dû avoir le même comportement avec Souko, alors non, il m'était impossible de le voir comme un lâche qui abandonne sa famille du jour au lendemain. Il avait dû avoir une très bonne raison pour les quitter si soudainement, et j'espérais vraiment qu'il ne lui soit pas arrivé malheur.

Invité

Souko lacha doucement son fils adorée pour revenir vers la belle elfe brune. Elle lui pris les mains tout en souriant chaleureusement car même si l'épisode qui venait de se passer avait été douloureux, les révélations de ses deux enfants lui avaient changer les idées.

"Tu n'es vraiment pas obligée de te sentir à ce point comme un.. poids. Car lorsque tu es arrivée dans la vie d'Ikuto, c'est moi qui ai prise la décision de te recueillir. Non seulement parce que j'avais bien remarqué que mon petit chaton se sentait bien avec toi, mais aussi parce que je savais que je pouvais accueillir une autre bouche à nourrir."

La neko caressa, d'une de ses mains qu'elle retira de celle de Xecty, ses cheveux avec une immense douceur. Puis, elle prit de sa main libre celle de son garçon, qui s'était rapproché lorsqu'elle lui fit signe.

"J'aimerais toujours Aruto, et mes sentiments ne changeront jamais. Mais il faut que je fasse ma vie sans lui pour le moment, car j'ai deux enfants qui ont grandis si vite.."

Ikuto voyait bien que sa mère était pleine de nostalgie dans sa dernière phrase. Elle devait sans doute se rappeler genre ses premiers pas,... des trucs de mère quoi. Mais le chaton aimait sa maman, et il lui montra une fois de plus en se collant à elle et en ronronnant.

Ses ronrons furent bientot rejoint par ceux de Souko, qui faisait à présent la même chose que lui

De simples mots peuvent être bien plus forts que des actes.

La mère de mon jeune amour venait de prendre mes mains dans les siennes et elle m'expliqua que je n'étais en rien un poids pour elle, que je ne l'avais jamais été même enfant, et ceci tout en passant avec une douceur infinie une main dans mes cheveux. Je sentit mes yeux s'embuer de larmes mais celles-ci restèrent à l'intérieur de mon corps. Il s'agissait là simplement d'émotion, une émotion forte qui serrait ma poitrine mais qui était vraiment agréable. En fait, je me sentais rassurée, comme si c'était quelque chose que j'avais toujours voulu entendre.

- Je ne vous remercierais jamais assez je crois ... laissai-je échapper dans un fin sourire très sincère.

La belle Souko ajouta ensuite qu'elle ne renoncerait pas à son amour pour son mari, même si elle ignorait totalement où il se trouvait et ce qu'il pouvait faire. Puis elle termina par le fait qu'elle devait s'occuper de ses deux enfants. Et là, je ne pus vraiment pas retenir deux larmes qui coulèrent le long de mes joues tandis que j'allai, tout comme Ikuto, me blottir contre la jeune femme blonde. Un gros câlin collectif se forma alors, ponctué de ronronnements sonores de la mère et de son fils. Après quelques minutes, je me redressai doucement et sourit.

- Je peux vous aider à faire le dîner peut-être ? J'en connais un qui doit être affamé, me proposai-je.

Invité

Lorsque Xecty proposa à la mère d'ikuto de l'aider à faire à manger car "quelqu'un devait être affamé", souko ne put retenir un petit rire. Bien sûr, comme pour répondre, un petit rale se fit entendre juste après.

"C'est pas vrai d'abord...."

Le mignon violoniste fit mine de bouder comme un enfant. Mais ce ne fut que de très courte durée, car son ventre fit comprendre le contraire. Ikuto se mit à rougir de gêne sur le coup, adorable, et regarda ailleurs.

"Bon.. peut-être un peu..."

Souko rit de plus belle, avant d'embrasser son fils sur le front.

"On faire vite mon coeur, promis"

La femme chat entraîna sa fille de cœur avec elle pour qu'elle puisse l'aider en mettant la table ou en faisant de petits travaux. Pendant ce temps, elle s'occupa de faire cuire du poisson ainsi que des légumes, en empêchant gentiment au musicien de piquer dans les plats. Une bonne demi-heure plus tard, tout fut prêt et ils passèrent à table.

Un bon sommeil réparateur ...

Comme je venais d'en faire la remarque, le ventre de mon cher amour se mit à gargouiller, ce qui me fit rire ainsi que Souko, tandis qu'Ikuto affichait une moue absolument adorable. Sa maman lui fit un bisou sur le front et j'allais en déposer un sur ses lèvres, lui disant que je me dépêchai, puis j'allai en cuisine avec la jeune femme blonde. Nous préparâmes donc un bon repas au poisson, qui fut près en une petite demi heure.

Comme j'avais pour habitude de ne pas manger, ou très peu, et que la température de la maison commençait à baisser en raison du froid de l'hiver qui arrivait, j'allai tranquillement allumer la cheminée et je m'assis devant, les jambes repliées et mes bras placés autour pour me caler. Un frisson parcourut mon corps, mais je sentis bien vite la chaleur apaisante du feu. Mon regard ébène se perdit dans les flammes qui formaient des formes aléatoires que je trouvais assez jolies, bien qu'effrayantes. Cette journée avait été épuisante, et j'étais passée par tous les états possibles : la joie, l'amour, le désir, puis la colère, la haine, la rage ...

Tandis que je me remémorai tout ce qu'il s'était passé, mes paupières se firent lourdes et finirent par se fermer, tandis que ma tête se baiser pour se poser sur mes genoux et que je m'endormais. Les elfes ne dormaient pas d'ordinaire, mais j'avais été tellement habituée à dormir avec mon chaton, et j'avais connu pas mal d'émotions fortes aujourd'hui ...

Invité

Ikuto se régala avec le délicieux repas que sa chère maman et sa petite amie lui avaient préparé. Tellement, qu'il se resservit trois fois. Une fois son ventre bien rempli, il aida bien gentiment sa maman à tout débarrasser et à nettoyer avant de se mettre à la recherche de sa bien aimée. Il la découvrit assise par terre devant la cheminée qu'elle avait allumée, la tête baissée. Le chat s'approcha doucement avant de comprendre qu'elle s'était assoupie. Attendri, il partit la prendre doucement dans ses bras afin de l'emmener dans la chambre. Grimpant doucement les marches afin de ne pas la réveiller, il la déposa sur le lit et la recouvrit doucement de la couverture. il l'embrassa sur le front avec douceur.

Seulement, ce qu'il s’apprêtait à faire n'allait pas plaire à la belle à son réveil: il allait chasser seul ce soir. Ikuto se vêtit de sa tenue de "black lynx", moulant bien ses formes et prit son violon avant de partir par la fenêtre. Il n'allait bien sûr pas sortir par la porte principale car sa mère ne l'aurait jamais laisser partir. Le méchant vilain chaton partit donc dans la nuit à la chasse.

Comment passer de l'angoisse à l'énervement ...

Le profond sommeil dans lequel je venais de plonger se dissipa au bout de quelques minutes seulement, parce que j'avais sentiment un mouvement autour de moi. Je compris de quoi il venait de s'agir en ouvrant les yeux puisque je me trouvais dans mon lit, bien au chaud. Seulement, en me tournant, je vis que j'étais seule. Ikuto se couchait avec moi d'habitude, et je ne sentais pas sa présence à l'étage inférieure ... Curieuse, je me levai et descendais les escaliers. Souko était déjà couchée, donc il n'était pas avec elle. Je remontai alors dans la chambre et vis, posés sur une chaise, ses vêtements de la veille.

- Mais il est dingue ...

Comprenant instantanément qu'il était parti dehors, en mission, sans moi, je réagis au quart de retour et revêtis en un instant ma tenue de chasseuse avant de filer par la fenêtre, à sa poursuite. Je ne mis pas longtemps à trouver son odeur et à la pister, jusque dans le centre ville. Là, ma tâche devint plus compliquée puisque de nombreux démons affluaient déjà dans les rues, ce qui m'empêchait de percevoir clairement une seule Aura.

- Bon sang Ikuto, tu perds rien pour attendre ... jurai-je avant de me remettre à sa recherche, inquiète mais aussi passablement en colère d'avoir été laissée à l'écart.

Invité

La cible qu'Ikuto avait à chasser ce soir n'était pas la plus facile. En effet il s'agissait d'un démon d'une vingtaine d'années, qui s'était spécialisé dans la voie du plaisir. En effet il enlevait des jeunes filles à qui il faisait perdre la mémoire avant de les mettre dans son petit bordel. Bien sûr les demoiselles ne savaient plus qui elles étaient et n'étaient plus que dociles petites poupées. Mais l'une d'elles avaient peu à peu retrouver la mémoire et avait réussi à s'enfuir: elle semblait avoir développer un pouvoir annulant l'amnésie. Cette jeune femme avait fait appel à ikuto car elle souhaitait que ses amies soient sauvées elles aussi car elle ne voulait pas que d'autres subissent les même horreurs qu'elle.

Le chat ne mit pas longtemps à retrouver le fameux bordel qu'on lui avait indiquer: il était dissimuler dans une petite ruelle et il était tellement peu repérable qu'il fallait savoir que ce lieu existait pour y rentrer. Décidant de se faire passer pour un client, il pénétra dans cet endroit.

(Si tu veut participer de mon coté ne te gêne pas, j'aime pas les monologues xD)

Il ne faut vraiment pas se fier aux apparences ...

Je parcourrai en vain les ruelles de Moonlight, me fichant bien des démons autour de moi et de l'attention qu'ils me portaient. Tout ce qui m'importait était de retrouver Ikuto avant qu'il ne lui arrive quelque chose de grave. Ce n'était pas que je ne lui faisais pas confiance, mais j'avais peur qu'il ne fasse une mauvaise rencontre et qu'il ne puisse s'en sortir tout seul. C'était déjà arrivé par le passé et je ne voulais pas que cela se reproduise.

Sauf qu'en pensant trop à la sécurité de mon amoureux, je venais de mettre la mienne en péril. Arrivant dans une ruelle sombre, je ne me rendit compe que trop tard qu'elle était sans issue, et je me retournai vivement en entendant des bruits de pas dans mon dos. Là, je vis deux silhouettes, deux hommes, s'avancer vers moi.

- Tiens, en voilà une jolie minette. Viens par là ma mignonne ...

Et avant que je ne puisse me défendre, l'un d'eux disparut et un violent coup s'abâttit sur ma nuque. Je tombai au sol, inconsciente et totalement impuissante. A cet instant, ces hommes auraient pu me faire subir les pires atrocités que je ne me serai rendue compte de rien. Ce n'est qu'après plusieurs minutes que je parvins enfin à ouvrir mes yeux, et je constatai que je me trouvais dans une pièce que je ne connaissais pas. Enfin, ce n'était pas une pièce, mais plutot une cage. J'étais entourée de barreaux, dans une toute petite surface, mes poignets étaient attachés au dessus de ma tête et j'étais assise, mes jambes repliées sur le côté. Cette position fort désagréable ne me permettait pas de me délivrer seule, et en plus je n'avais plus toutes mes forces.

- C'est quoi cet endroit ...

J'essayai de sentir les auras autour de moi, mais elles n'étaient que peu nombreuses, et pour la plupart très affaiblies. Il s'agissait de femmes, mais je ne les connaissais pas. Puis, mon regard s'abaissa sur mon propre corps, et je vis avec effroi que tout ce qui me recouvraient n'étaient plus que mes sous-vêtements. Donc je n'avais plus d'armes sur moi et quelqu'un m'avait touchée. A cette idée, un immense frisson parcourut mon corps tout entier et je me mit à me débattre très fort.

- DÉTACHEZ-MOI !!

Ce que j'ignorai, c'était que je me trouvais dans le sous-sol d'une maison close, prête à être vidée de ma mémoire et à être servie à des démons avides de relations charnelles. Et que celui que je cherchai était tranquillement assis à enquêter juste au dessus de ma tête.

Invité

Ikuto ne se doutait pas du tout que sa chère et tendre se trouvait en dessous de lui, en petite tenue et attachée, en grands dangers. Il s'était trouvé une cape pour dissimuler son visage car malheureusement il n'était que trop connu des démons. Après tout c'était le chat noir des démons...
Il se faufila à travers les quelques démons se trouvant dans l'entrée d'un endroit semblant tout à fait normal, mais qui abritée en réalité des pauvres demoiselles sans défense.

Le lieu ou il se trouvait était d'une beauté renversante... Dans le style gothique au ton noir et rouge, la salle se divisait en un grand escalier, et deux salles sur les cotés. Au centre, il y avait un espèce de comptoir en bois noire au niveau duquel semblait se tenir une personne qu'Ikuto identifia comme le gérant de ce bordel. Au dessus se trouvait un gigantesque lustre en cristal. Il prit soin de noté cet élément en cas de fuite éventuelle.

Le chat s'avança le plus naturellement possible vers le comptoir et s'y accouda légèrement, prenant soin de garder son visage caché sous sa cape.

- J'ai entendu dire qu'il y avait de la marchandise de qualité ici. Je peux en savoir plus?

Sur ces mots il déposa une bourse sur la table, montrant son "sérieux" dans l'affaire.

Les héros se font toujours désirer.

J'avais beau me débattre, mes chaines ne se brisaient pas et mes poignets s'étaient écorchées contre le métal glacé. Mes forces avaient diminué et j'étais désespérée. Bon sang, si j'avais su, je serai restée bien gentiment à la maison à atttendre son retour ...

Au dessus, dans la partie immergée de l'iceberg, un jeune homme venait de déposer une bourse remplie de pèces d'or sur le comptoir, demandant au patron qu'il était interessé par la marchandise. Le gérant soupesa la somme et la trouva très correcte. Un fin sourire avide s'afficha sur son visage détestable et tout à fait écoeurant.

- Et bien, avec tout cet argent, vous pouvez choisir quelle genre de fille vous voulez. Je peux même vous en laisser deux. Si vous voulez bien me suivre.

Sur ces belles paroles, l'homme prit les devant et emmena son client. Il le fit paser par plusieurs porte et descendre plusieurs escaliers avant d'arriver devant les différents cages dans lesquelles se trouvaient des femmes, de tous âges mais surtout des jeunes filles plutot jolies. Les plus belles étaient tenues à part, et il s'agissait d'elfes pour la grande majorité, même si elles étaient peu nombreuses.

- Celles-ci sont nos petites perles, mais elles ne sont pas très dociles, vous êtes prévenu, le prévint-ils en désignant la cage dans laquelle je me trouvais, avec d'autres femmes aux longues oreilles.

A peine s'étaient ils tous les deux approchés que je leur lançais des regards remplis de haine. J'avais bien envie de leur cracher au visage, mais ils étaient trop loin pour que je puise les atteindre, aussi me contentai-je de les insulter en elfique.

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